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ériode Antillaise. Peindre à Marie-Galante, c’est avant tout chercher à traduire
la vie, le mouvement, la transparence de l’air. Surprendre
le ballet harassant mais aérien des coupeurs de cannes, le
chaloupée des danses carnavalesques des jours de fête,
la rondeur des baigneuses féliniennes et gracieuses,
le ya ka kozé du ti’ marché.
n instant suspendu, intemporel, éphémère mais qu’il
faut saisir très vite, car ici tout n’est que précarité. Paradis
perdu menacé par les cyclones, les séïsmes,
la mondialisation. Et si peindre n’était qu’un fantasme
d’immortalité...
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ériode Marocaine. Une nouvelle période commence pour tenter de comprendre, sentir, transmettre cette nouvelle culture qui s'offre à mes yeux ébahis.
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